Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

le blog de Ambreneige

20 avril 2010

le gagnant

herbe

"ah au fait ce qu'il y avait à deviner, c'est cette nouvelle bannière, toute en douceur ?"

Oui, Frédéric, bravo ! c’est cela qu’il y avait à deviner, et c’est ISA qui l’a faite !! Exit les horloges et les shockwaves !! (au fait, quand vas-tu te décider à m’expliquer à quoi sert ce diabolique engin ? surtout que depuis deux jours Mifa n’en dort plus non plus. T’aurais pas le cœur d’empêcher Mifa de dormir quand même, alors qu'elle rentre épuisée de sa pause ?)

"Cette méditante qui a choisi de ne pas prendre le Lotus pour base ... "
Tu l’as dit bouffi.

Isa a tout bien cerné, tout bien compris, je lui dis "je veux une bannière sobre qui correspond à ma profonde sobriété" et hop ! en trois coups de cuiller à pot elle me fait une bannière qui à elle toute seule, est LA démonstration de ma fabuleuse sobriété !! (Enfin, pour être précise, elle m‘a dit : "ah, tu veux un truc qui fasse croire que t’es pas zinzin ? " mais je sais qu’elle voulait dire par là " tu sais parfois sans faire exprès faire preuve d‘une telle sobriété !")

" ... mais une plante au pistil érectile pour mieux tester sa capacité à rester centrée ?"

Ouiiiiiiiiiiiii Frédéric, tout y est, même le symbole de ce qui me permet de rester centrée ! Quelle finesse d’analyse ! Bravo ! (t’utilises le même, peut-être ?)

"et c'est quoi ces petits points en haut à droite ? Les bulles que font son cerveau qui se déconnecte ?"

Ah bah zyva ! c‘est facile de se moquer quand on a les chaussures qui naiquent !! Rigole, rigole !

Eh bien les petits points en haut à droite c‘est (comme dirait Ariaga)

quand je laisse tellement bien reposer mon mental qu’il s’évapore !

Publicité
Publicité
19 avril 2010

le chemin

chemin

Un chemin, aussi long soit-il,

n’est que l’emplacement de la terre

juste sous nos chaussures ..

Lung Ta

17 avril 2010

énigme samedicinale

PICT5210

Ben oui, c’est une horloge.

Pour vous permettre de suivre avec anxiété autant qu’impatience le moment où apparaîtra, sur ce blog, ..

(tadaaaaaaaaaaaammmmmmmmmmm !!!!)

ze surprise of votre vie !!!!

Alors, un ptit indice :

c’est quelque chose que je sais pas faire.

Quoi il est pas bon mon indice ?? Comment ça il est pas bon mon indice ??? en blogguage je vous ferais dire qu’ya plus grand-chose que je ne sais pas faire ! Bon, certes, on y a mis le temps. Enfin, surtout celles zé celui qui m'ont expliqué. Ils y ont perdu leur latin. Voire leurs cheveux.

De là à prétendre que c’est trop compliqué de trouver un truc que je sais pas faire ?

Surtout que,

deuxième indice ..

(tadaaaaaaaaaaaaaammmm !)

c’est quelqu'un qui a des cheveux qui l'a fait !

Et toc !

Ah !

Ça vous en bouche un coin, hein ?

Bon alors c’est ? c’est .. ?

(si yen a un ou une qui trouve, je lui fais un gâteau. Et même, je le cuirai !)

16 avril 2010

Que ferais-je sans vous ?

chatons_calin

Que ferais-je sans vous, qui vîntes à ma rencontre ? me disais-je ce matin en ouvrant les deux yeux.

Oui, que ferais-je sans vouuuuuuuuuus maintenant, vous mes chers amis et mes fidèles nounounes qui arrivâtes un beau jour d’avril 2006 sur mon blog en croyant y trouver des recettes sur la zénitude et qui constatant la méprise (je vous en demande humblement pardon, à genoux et à deux mains) ne vous en êtes néanmoins pas détournés ?

Vous qui avec un courage ôôôô combien exemplaire n’avez pas hésité à me suivre dans mes crises de fou rire mais aussi et surtout me réconforter chaque fois que j’étais occupée à ramasser les morceaux de ma vie brisée ? vous qui - sauf Clo (oui parce que figurez-vous qu’elle se délecte de mes mésaventures)(elle dit que ma vie est un véritable feuilleton et qu’elle attend toujours avec impatience les nouveaux épisodes), vous qui, disais-je, me donnez des petits bouts de vous, les plus beaux, les plus colorés ? vous qui êtes toujours là pour moi (surtout Clo qui veut pas rater un seul épisode) ?

alors vous, mes chouchous, mes nounous, mes nonos je me jette vers vous à grandes enjambées silencieuses tel le héron gracieux que je sais être à mes heures perdues et je vous dis

merci.

Merci pour vos caresses (comme on dit à Québec), pour votre sympathie, votre amitié, votre chaleur, votre empathie (sauf Clo) - là, je marque une pause et je prends un Kleenex, chrrrrrrrrttt !!! oui, parce que non, bon d’accord je suis émue mais si jme mouche c’est surtout parce que j’ai chopé un truc, c’est printanier paraît-il, alors je bourgeonne - oui donc je disais, à vous tous,

merci, merci, merci !!

merci d'être vous pour moi !!!

 

16 avril 2010

La rubrique à mots (3)

dansecuisine

Je saute de joie et à pieds joints à l’idée de partager avec vous quelques mots, des jolis, des pas beaux, des inventés, bref des mots dont mes chères têtes blondes m’ont régalée étant enfants (elles, pas moi)(et dont elles me régalent encore maintenant) (moi, pas elles).*

CASSE-PILLER, v.t.: casser les pieds à quelqu’un. Môman ma sœur elle arrête pas de me casse-piller, et en plus, elle me regarde avec un air bête !

DÉGAZOUILLER, v.t.: démêler les cheveux en gazouillant.

FOULEUX, adj.: plein de monde.

ENLIRBOUFFER, v.: terme culinaire, qui signifie mélanger les ingrédients.

MISANTHROPIE, n.m.: maladie des yeux : on peut être amblyope, astigmate ou misanthrope.

TRACHÉE ACTIVE, n.f.: chez l'homme et les vertébrés à respiration aérienne, tube maintenu béant par des anneaux de cartilage, commençant au larynx et conduisant l'air aux bronches et aux poumons : La trachée active a un rôle vital.

VERGONDÉE, adj.: se dit d'une jeune fille qui n'adopte jamais une conduite relâchée : je vois pas pourquoi tu te fais du souci parce que je pars en week-end avec des garçons môman. Tu sais très bien que je suis vergondée !

PAPYPOTER, v.i.: bavarder à tort et à travers, lorsqu'il s'agit d'une personne mâle de plus de 50 ans (en Suisse on dit bateuiller) (et comme les Suisses sont aussi bavards que les Suissesses c'est valable pour les deux sexes).

SLIP DE GORGE, n.m.: pièce de lingerie féminine servant à maintenir la poitrine (on peut dire aussi : sweat-gorge)

ESTAMPÉE, adj. et n.: se dit d'une personne qui est dispensée d’une activité, ce qui fait qu’elle n’y est comme qui dirait, qu’une ombre, une estompe..: être estampée de sport.

* pour les premiers chapitres, merci de vous transporter ici et .

petits_coeurs_couleur

Publicité
Publicité
15 avril 2010

refaire le monde

PICT5213

Avec tout ce qu'on a refait de ce monde autour d'une table de bistrot, je ne comprends pas qu'il ne soit pas meilleur....

REYNALD

13 avril 2010

soi, soi, ô mon soi

vatican_aout_1963_2

Lorsque j’étais petite, j’avais besoin, comme n’importe quelle petite fille je suppose, d’être nourrie "d’amour". Comme ça le faisait pas de la part de Maman, elle me qualifiait de pot dcolle, de sangsue, de miclette.

v_suve_1964

Si ma maman n’avait pas eu ce contentieux familial à régler avec ses (les) filles, elle m’aurait donné les marques de tendresse que j’attendais sans me culpabiliser et je n’aurais peut-être jamais été un pot dcolle pour qui que ce soit.

vevey_suisse_1962

Ce qui a joué aussi certainement, c’est le contexte de pudeur émotionnelle et affective à laquelle on se contraignait plus fortement à cette époque, pudeur qui obligeait à (se) taire et à faire taire - même si on a l’impression que cela s’assouplit un peu sociologiquement et psychologiquement parlant, dans la réalité on se rend compte que ces règles et ces contraintes de vie, reprises consciemment ou non, voire renforcées par la famille, font que l’on finit par s’éloigner sans s’en rendre compte de "soi" et de ses besoins.

ste_marie_de_la_mer

Ce qui est paradoxal c’est que justement, si on se conforme à ces règles, c’est pour être reconnu et accepté par les autres !

PICT4610il_deserto_1964

Quoi d’étonnant alors qu’il semble si compliqué de faire une chose aussi simple que d’être soi puisqu’on passe notre vie à ne pas l’être ?

tournesol_F_Pavot

11 avril 2010

le convoi

11 avril 2010

une miette

pain_viennois23

On applique la compassion et la non-violence dans les petits actes du quotidien sans prendre conscience que c’est de la compassion et de la non-violence.

Ce sont des petits actes, peut-être, mais une miette de pain reste du pain, non ?

Mifa

(relevé ici)

8 avril 2010

amoureuses

RegardCoquelicot_MLJ

Je la connais depuis .. misère, le nombre d’années me donne le tournis ;-)

À l’époque, on était encore jeunes et belles, enfin .. p't'être aussi "belles et c..", comme dans la chanson de Brel ;-)

Des fois, l’amitié démarre sur les chapeaux de roue, et s’éteint comme un feu de paille. D’autres fois, elle se bonifie avec le temps, comme le vin - notre amitié est de celles-là.

Naturellement, je lui ai offert mon livre, mon bébé. Notre amitié est contemporaine de la quasi-totalité des récits. Certaines scènes dont elle n’a pas dû manquer de reconnaître les protagonistes ont dû la faire bien sourire..

Alors elle a pris son stylo. Car comme moi elle aime, malgré internet, continuer à envoyer des vraies lettres, écrites sur du vrai papier de toutes les couleurs (et tant pis si "ça fait adolescente", n’est-ce pas Clo ? ;-)))

Et voici ce qu’elle m’écrit :

« j’ai lu ton livre d’une traite, j’en avais les yeux tout bouffis, je savais plus où j‘étais... j’ai laissé passer quelques jours pour essayer de totalement l’oublier puis je l’ai relu. Je me suis délectée de tes aventures amoureuses, te revoyant devant G. ou t’imaginant complètement face à ces hommes, amoureuse, paumée, larguée, sens dessus dessous, au paradis et en enfer, mais tout à fait dans l’amour. Ton écriture m’a fait sourire, réfléchir, mais surtout comprendre que dans le fond, les femmes se ressemblent lorsqu’elles aiment.. Elles se ressemblent dans leurs rêves.. si elles en ont ! et toi, t’en as toujours eu à revendre.. En tous les cas un grand bravo pour ton audace, j’ai senti comme tu t’es libérée et tu ne peux pas savoir combien je suis fière de toi (excuses, ça fait gnangnan mais je sais qu’il t’a fallu du courage pour mener ce projet de livre jusqu’au bout) »

"Les femmes se ressemblent lorsqu’elles aiment, elles se ressemblent dans leurs rêves.."

.. non ?

7 avril 2010

aimer trop

chat

On me dit tout le temps : tu aimes trop.

Comment peut-on aimer trop ?

2 avril 2010

toucher le coeur

1

La principale qualité d'un dialogue ne dépend pas de la manière dont je tente de convaincre mon interlocuteur, mais de toucher son coeur et de permettre à mon coeur d'être touché.

Rajmohan Gandhi

2 avril 2010

mon ami sans voix

31 mars 2010

l'avenir de l'homme

Sylvie

Pourquoi vouloir à toute force se détacher de tout ? hein ?

déjà que la vie est pas marrante, faudrait tendre à ce qu'elle soit encore pire ??????????

C’est sous le coup de cette super révolution, enfin je veux dire résolution, qu’hier, je vaquais tranquillement au sein du Leclerc munie d’un caddie format XXL dans lequel j’entassais pêle-mêle tout ce qui me passait entre les mains, lorsque cestui-ci entra en collision avec un caddie mâle. Sous l’effet du choc, mon masque de vieille nounoune aigrie tomba sur le sol en petites plaques disgracieuses. Je glissai dessus et m’étalai de tout mon long au bruit enchanteur de szzzlaaaaaaaach ouuuuuuuch ! (bon ça, c’est fait) ce qui me donna immédiatement une vue plongeante sur l’intégralité du caddie masculin qui m’était jusqu’alors cachée par l’amoncellement de petits pulls sexy que je venais de m’acheter dans le but inavoué de les détricoter pour tout reprendre à zéro.

Or, je ne sais pas si vous allez me croire, mais le caddie du jeune homme - car oui, c'était un homme, il était jeune, il était beau, il sentait bon le sable chaud - était rempli de ... salades. Des salades vertes, encore des salades vertes, toujours des salades vertes. Un Himalaya de salades vertes. Je n’en avais jamais vues autant. Mon cerveau démasqué ne fit qu’un tour : les salades seraient-elles en passe de devenir l’avenir de l’homme ? était-ce un tour de passe-passe de mes yeux estomaqués, aveuglés par tant de beauté ? car ce jeune homme (même au milieu des salades) était vraiment beau.

C‘est là que je me suis dit : ah Ambre ! t’es trop fine d’avoir pris cette super et intelligente décision de vouloir enfin arrêter de vouloir arrêter bêtement de te détacher de tout, alors qu’une montagne de salades vertes te tend les bras, prête à être dégustée avec ses petits yeux pailletés d‘or !

Dans le but de faire progresser les choses, je me relevais en sautillant gracieusement et me tournant vers le roi des salades je lui demandai avec toute ma géniale perspicacité qui a déjà fait ses preuves si par hasard il ferait un élevage de ces merveilleux zé collants câlinants zanimaux de compagnie que sont les limaces ?

Eh bien pas.

Il s’agit non pas de limaces mais d'une race mutante d'escargots, une variété totalement nouvelle qui vient de faire irruption en région parisienne et qu’on n’avait jamais, jamais jamais, n'avoue jamais jamais jamais mais alors jamais vue. Ces escargots, semble-t-il, se déplacent en meute vers le nord du pays, et c’est ainsi que faisant une halte salvatrice pas loin, ils se sont jetés dans l’euphorie la plus totale sur les salades du Mac Do d‘à côté, avalant en moins de temps qu’il n'en faut pour l’écrire l’intégralité du stock (braves petites bêtes). Voilà pourquoi en catastrophe, ce délicieux brun se trouve là, prêt à passer à la casserole, au magasin le plus proche, pour remplir à ras bord son caddie de salades.

Parce qu’un hamburger sans sa salade, c’est comme qui dirait, une pomme sans son ver.

balancoires

N’est-ce pas ?

29 mars 2010

pause pour cause de chni intérieur

17038613_p

Lorsqu'on a du fil à retordre avec la trame de sa vie, ya pas trente six solutions : démêler les bobines pour pouvoir poursuivre son ouvrage.

Je vous souhaite la paix.

28 mars 2010

à quoi ça sert

enfant

à quoi ça sert, tout ce qu’on fait, tout ce qu’on vit ?

puisqu’on n’est qu’un petit truc, un petit rien dans l’infini ?

27 mars 2010

tu me tournes le dos

de_dos_mer

Tu me tournes le dos.

Tes doigts courent sur le clavier, tu es un peu penché, légèrement. Tu me tournes le dos.

Depuis combien de temps ?

Depuis combien de temps, insidieusement, l’écran s’est-il glissé entre nous deux ?

Tu disais, je ne peux plus, de toutes façons je ne peux plus te donner tout ce que tu attends, alors à quoi bon ?

Mais comment peux-tu savoir ce que j’attends ? Et si ce que j’attends n’était pas là où tu l’attends ?

Tu disais : avant.

Bien sûr, avant. Avant, tu me faisais des choses, tu allais partout, avec tes mains, avec tes dents, toi mon réservé tu abandonnais toute réserve, tu en devenais presque brutal, et c’est ce que je voulais, oui sûr, c’est ce que je voulais, qu’on soit saisis d’un savoureux vertige, un vertige qui nous submerge, nous dépasse, et l’illusion de s’en croire la cause, l’illusion sais-tu ? cette illusion de n’être que des corps, des corps qui se réchauffent à même la peau, d’ailleurs n’est-ce pas toujours ce qu’on fait à deux, on se colle pour ne plus avoir froid, jamais, pour oublier le vide, le silence, pour oublier la solitude et tous ces maux qui nous vrillent le dos ..

le dos.

Tu me le tournes.

26 mars 2010

routrouiller

C’est Fazounette à présent qui voudrait bien savoir ce que veut dire routrouiller.

Alors comment expliquer cela.. voyons.

Je vais décrire une situation avec ma mère qui était sans conteste la reine des routrouillons.

Je vais avec elle faire les courses. On arrive sur le parking du Leclerc. Maman coupe le contact. Elle a oublié de remonter les vitres. Elle remet le contact. Elle remonte les vitres. Elle met sa "canne" (antivol au volant). Elle sort de la voiture. Elle s'aperçoit qu'elle a oublié de fermer la canne à clé. Elle se rassoit dans la voiture, elle donne un coup de clé dans la canne, elle re-sort.

Donc là ça fait déjà 5 bonnes minutes de routrouillage.

Elle attrape son sac, à l'arrière. Elle cherche où elle a bien pu mettre sa liste de courses. Bon, j'ai largement le temps d'aller chercher mon caddie. Quand je reviens, elle a la tête plongée dans son coffre. Elle ne retrouve pas ses sacs Leclerc. elle m'accuse de tous les lui piquer...elle refait le tour de la voiture. Bon ça y est elle a son sac, sa liste, ses sacs Leclerc. Elle ferme sa voiture.

Ah ! elle a oublié le jeton pour son caddie. Elle rouvre. Heureusement le jeton est posé à l'avant de la voiture, ya pas à le chercher. Donc elle le prend, elle referme...

3

là on est pratiquement à 12 minutes de routrouillage.

Oh, elle voit son reflet dans le rétro. Elle a un épi sur la tête, dit-elle. Elle rouvre la voiture.

4

Elle farfouille pour retrouver son peigne (le peigne urgence-épi), elle se mire dans le rétro, elle se recoiffe, elle dit, "bof de toutes façons ça va rebiquer", elle repose le peigne,

5

elle referme la voiture, elle re-cherche son jeton.

Là, on frôle les 25 mn de routrouillage.

Elle n’a pas encore son Caddie et on n’est toujours pas dans le magasin !

6

Voilà Fazou, c’est-y assez clair ?

Pour ma part, ma spécialité à moi c’était de faire la meule ..

25 mars 2010

y-a-t-il un Suisse dans l'avion ?

Bérangère se demande ce que c'est : "faire schmolitz" ..

Ben c'est une coutume suisse qui consiste à vider son verre Q sec avec quelqu’un qui n’est pas encore notre intime mais qui, après ça, le devient forcément (quoi de plus intime que de boire un verre ensemble, je vous le demande ?).

Du coup, après, on n’peut pas faire autrement que se tutoyer !

Chez nous, on faisait schmolitz en se donnant le bras, comme ma Môman le fait ici :

Man_Mireille_dec1990

des fois, on avait beaucoup d’invités pas intimes avec lesquels, évidemment, on était obligés de faire schmolitz..

Bilan :

Maman_pieds

on finissait complètement schlass..

25 mars 2010

une bonne cuisinière

Commentant ici l’article de mon amie Clo, je disais que oui, absolument, ma maman était une vraie bonne cuisinière, elle tenait ça de sa maman qui elle, en plus, était très gourmande (moi je suis gourmande aussi mais pas bonne cuisinière)(oui ben comme j’dis toujours, on peut pas être performante en tout !)

Faut dire qu’elles ont été "élevées" à la mode suisse,

Maman_en_petite_suisse

genre, on mange bien gras, bien gras, et encore un peu gras. Pis on en reprend un peu, sans oublier de faire couler avec une bonne rasade de Suze. Ah c’est sûr, on raperchait toujours les assiettes !!

Du reste jme rappelle d’un truc que mes parents disaient de notre famille suisse,

" ah ça, c’était des bons vivants ! d'ailleurs, ils en sont morts !"

Bon, ceci dit, c’est vraiment des bons souvenirs. Certains d’entre vous connaissez la saga des Jalna ? Ben mon arrière-grand-mère, c’était comme qui dirait la matriarche. Elle avait un de ces caract du caractère ! ensuite  nous avions ses deux filles avec les "pièces rapportées", qui avaient eu l’honneur et l’avantage d’être intégrés au clan après avoir fait schmolitz ... nous les enfants et petits-enfants, y baignions dans une ambiance conviviale et joyeuse, rythmée par les verres qui se choquaient au son des "santéééé" dans une indécente bonne humeur..

Et ça routrouillait, ça routrouillait ..

M_m_re_Titine_et_nous_3_1962

ma soeur, mon pitit frère, notre arrière-grand-mère

and me

Yverdon

Publicité
Publicité
le blog de Ambreneige
Publicité
Newsletter
Derniers commentaires
Archives
Visiteurs
Depuis la création 118 248
Publicité