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le blog de Ambreneige

16 février 2007

la table qui voulait devenir un radeau

Moi qui suis une grande questionneuse devant l’Éternel, j’ai trouvé mon maître (si je puis m’exprimer ainsi)

Les personnes qui lisent le blog que je n’évoque absolument jamais l’ont en effet constaté :

on pose innocemment une question, histoire de s’instruire, et on se retrouve devant une montagne d’interrogations sous laquelle non seulement on ne sait plus ce qu’est qu’une table, mais en plus on doute même de porter notre propre nom!

Ça ne fait rien.

Maintenant nous n’ignorons plus que nous sommes dans l’ignorance. Que peut-il nous arriver de pire ???

"La table est faite de bois, de colle, de clous, de peinture. Mais est elle un de ces éléments ? Pourtant si nous ôtons un de ces éléments comme tous ceux qui permettent son assemblage, elle ne devient un « tas de bois », est elle encore une table ? Peut on dire aussi que ce tas de bois n’est pas une table ? Pourtant sans ce tas de bois il n’y a pas de table ? "

Oui c’est une table! N’essaie pas de nous embrouiller! C’est une table à laquelle il manque des clous, de la colle, un peu de peinture ou même un pied, mais elle reste une table !

" Le menuisier qui a fait la table, est il la table ? Pourtant sans lui pas de table. L’arbre qui a poussé dans la forêt est il la table ?
Une table qu’on ne peint pas, est elle une table ? La peinture serait alors la table ?
Si je coupe tous les pieds de 10 cm est ce encore une table ? Si j’ôte un des pieds est toujours une table ?
Si je me sers de la table à l’envers comme d’un radeau, est ce une table ou un radeau ?"

(vous constaterez au passage la perversité du questionneur. Je suis pourtant forte à ce jeu, mais jamais je n’aurais osé aller aussi loin)

Bon alors là c’est clair, on est rentré dans un cheminement qui n’a plus aucune logique.

Le menuisier n’est physiquement parlant pas plus la table que n’importe quel artisan n’est l’objet qu’il crée. Par contre ne peut on pas se dire que la table est une infime part du menuisier à partir du moment où il se met à imaginer sa fabrication ? Aussi bien ne pourrait-elle pas être non pas l’arbre, mais dans l’arbre dont la matière peut éventuellement servir à la confectionner ? Ceci dit l’arbre n’en sait rien, et il s‘en moque éperdument ! La table aussi d’ailleurs !! Il faut être humain, et plus particulièrement homme pour se poser des questions aussi perverses !!

Il me semble encore que si maintenant on s’amuse à scier tous les pieds de la table pour la retourner et jouer à la Méduse on aurait plus vite fait de construire directement un radeau.

Néanmoins, la table avec des pieds sciés, même retournée, reste une table qui se prend pour un radeau. Quant à la personne qui rame, elle devrait réserver une place dans le HP le plus proche.

" Si je vais voir au niveau moléculaire, atomique, électronique. Il y a alors plus d’espace que de matière ! La table semble être faite de vide. Mais où est alors la table ? Dans ses molécules, l’atome, les atomes, ses électrons ? Pourtant tous les jours, elle perd une partie de ses électrons, jusqu’à quand continuera-t-elle d’être une table ?

On peut en déduire que les objets n’ont pas d’existence « ferme », intrinsèque, en eux-mêmes. Mais cela ne veut pas dire qu’ils n’existent pas non plus."

On croit avoir tout lu. Ben non ! On n’est pas arrivé au bout ! Car nous avons affaire à un spécialiste, ne l’oublions pas ! Les filles, c’est le moment de se serrer les coudes. Nous étions dans l’ignorance parfaite que nos meubles se dés-électronnent jour après jour.

Dans un sens c’est plutôt réjouissant car cela sous entend qu’un jour ou l’autre, le problème du rangement sera définitivement réglé puisqu’il n’y aura plus rien à ranger !!

" La question peut se poser à l’identique sur les humains, et principalement sur nous. De la même manière nous pouvons décider de nous poser pour méditer pour essayer de nous trouver.

Où sommes nous ? Qui sommes nous ? Nous aurons tendance à dire « notre prénom et notre nom ». Pourtant quand on prend refuge dans le bouddhisme on reçoit un nouveau nom (le miens est Tenzin Kunchok), qui suis je Frédéric ou Tenzin Kunchok ? L’un exclu-t-il l’autre ou le contient il ? Qui est Lung Ta ?
Si je perds l’usage d’un sens (comme la voix) ou d’un membre, suis je encore moi même ? Etais je cette voix ? Suis je toujours dans le sans voix ?
Mais quand j’étais jeune, petit garçon, étais je déjà moi ? Quand je serais vieux, serais je encore moi ? Mais ce moi de maintenant est il le même que lorsque je me suis interrogé de la même manière il y a 20 ans ? "

Ah. Tu te questionnais déjà y a 20 ans. Tout s’éclaire.

Et si tu faisais une pause ???

" Avant que je naisse, quand mes parents se sont rencontrés et se sont aimés, étais déjà là ? Un célèbre koan zen pose la question "quel visage avais tu avant de naître ?"

Je suis fait de toute mon histoire, celle de mes familles d’origine, celle de mon devenir potentiel. Je suis aussi fait de toutes les rencontres que je fais, mais aussi de tous les êtres vivants en même temps que moi. Je peux être touché par la mort d’un être que je découvre à la TV et que pourtant je ne connais pas."

Nous voici enfin au cœur du sujet :

qui est Lung Ta ?

Plus précisément, qui est l’homme ?

Je dirais même plus : où sont passés les hommes ???

Car je ne sais pas si vous l’avez remarqué, mais le nombre des mariages diminue d‘années en années. Pourquoi ? Parce qu‘il n‘y a plus d’hommes.

On les cherche partout, on en trouve nulle part.

L’homme serait-il en voie d’extinction ?

Vous avouerez que c’est un sujet autrement plus intéressant que la transformation de la table en radeau.

1) comment reconnaît-on un homme ?

Au premier coup d’œil, ce qui caractérise un homme, c’est sa masse musculaire. Si. il faut avoir le courage de le dire. Et ses cheveux. Même s’il n’en a pas. Dans ce cas on dit qu’il est chauve. A noter que les femmes ne sont pas chauves et c‘est déjà un bon critère de reconnaissance.

Ce n’est pas le seul.

Voyez comment est une femme, pleine d’ovaires, d’ovules et tout un tas de trucs compliqués.

Alors qu’un homme a les organes sexuels très commodément situés dans le prolongement de son corps, ce qui lui évite les ballonnements intestinaux et toutes ces sortes d’inconvénients.

De nos jours, il peut arriver qu’on ait du mal à identifier les hommes. Quelques éléments de reconnaissance :

il grommelle en lisant son journal : c’est un homme.

il emploie des mots comme " PSG" ou "ducon". C’est un homme.

il s’allonge tout nu contre vous et il a les pieds froids : c’est une femme.

Malheureusement on ne peut pas faire de généralité. Maintenant, on sait qu’une femme qui entre dans une boutique de lingerie pour s’acheter des bas est parfois un homme. Ceci dit il ne faut pas se décourager.

Il y a pas mal d’autres signes de reconnaissance.

2) affinons la recherche

L’homme est un être instinctif. Il a par exemple l’instinct de reproduction.

Alors certains vont prétendre que l’homme ne pense qu’au sexe. Pas du tout ! C’est juste qu’il a un sens très développé du devoir ! (de la compassion même, pourrait-on dire si on veut parler le Lung Ta’s language)

Et comme je l’ai évoqué plus haut, il a raison de s’en préoccuper, et vite ! Ça urge !!

On a pu constater au fil du temps présent, qui passe, comme le reste, que l’homme d’aujourdhui est capable de maîtriser ses nombreux instincts grâce à cet outil merveilleux : la Pensée.

Imaginons un homme qui a faim. Va-t-il se jeter sur le pauvre petit lapin qui traverse la route ? Pas du tout. Il réfléchit. Il sait qu’en rentrant, il va trouver un bon repas préparé par Madame. Alors il se calme et laisse le lapin tranquille.

S’il ressent le besoin impérieux de se reproduire (évoqué plus haut) va-t-il se ruer sur sa collègue drôlement bien roulée (celle qui a de gros seins) ?? Que nenni. Il fait marcher sa tête. Il se rappelle que la dernière fois qu’il a bavé devant elle avec la langue par terre, il s’est pris une beigne. Alors il se contente de lui tenir la porte avec un sourire poli. Et patiente jusqu’au soir (Madame, etc)

On le voit, les exemples de maîtrise des instincts masculins grâce à l’outil fabuleux qu’est la Pensée ne manquent pas.

Surtout que plus le temps passe, plus on la sollicite, cette Pensée!

Regardez, ya encore pas si longtemps, l’homme, être instinctif s’il en est, se donnait tout entier à son devoir, ahanant sur Madame.

Qu’il a bien fait d’en profiter! Parce que voyez vous, depuis quelques temps, tout a changé !! Eh oui !!! Madame, qui a toujours été réservée sur la question, et même disons le crument, quasi inexistente, se met à vouloir participer! Pire! Elle veut du plaisir elle aussi !!

En plus, il faut faire du bien à Madame ? Mais où va-t-on ???? se dit l‘homme perplexe qui se demande ce qu‘il a bien pu faire pour en arriver là ( n’aurait-il pas dû sortir les poubelles plus souvent??)

Du coup, il est agacé.

Il se pose de nouvelles questions, genre, AVANT : " pourrais je présenter à Madame mes meilleures salutations avec tout ce que je me suis empiffré ce soir ?" et APRES  " est-ce qu’elle a aimé ?????????"

Eh oui, parce qu’il n’en sait rien !!

Car c‘est une autre caractéristique masculine très caractéristique :

l’homme ne comprend strictement rien aux femmes !!

et pourtant ..

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14 février 2007

impulsivité

Ma sœur me raconte que son lavabo est bouché. Ce sont des choses qui arrivent, certes, mais non content d’être bouché, cet imbécile de lavabo est irréparable. Plus aux normes qu’il a dit son plombier. (à mon avis, le plombier ne l’est plus non plus).

Bon jusque là vous êtes d’accord avec moi, elle peut encore inspirer, expirer, relax max.

Mais dans la foulée, elle reçoit une lettre de son opérateur qui lui annonce qu’il va résilier la ligne ADSL, chose qu’elle n’a absolument jamais demandé. Elle téléphone au service clientèle, ce qui est en soi un exercice de patience d’un niveau particulièrement élevé. Elle s’en tire haut la main. Juste le visage très légèrement rosi par un peu d’agacement.

Alors pour se changer les idées, elle se dit qu’elle va aller jardiner. Et elle s’aperçoit que sa terrasse est en train de s’écrouler. ( là, franchement, je me demande si il ne deviendrait pas urgent qu‘elle change de baraque, mais bon)

Tout cela pour vous dire quoi. Et bien ceci: moi ya quelque chose qui me lamine depuis toujours : l’impulsivité (et sa jumelle la colère). Ce sont des petites bêtes très très vicieuses. Tapies dans leur coin, c’est à peine si je me rends compte qu’elles existent. Pour peu, je les croirais vacui.

Et puis d’un seul coup, sans prévenir- c’est une de leurs principales propriétés- elles explosent.

Enfin plutôt, c’est moi qui explose.

Quand je repense à TOUT ce que j’ai fait dans ma vie sur un coup de colère, jme dis, c’est pas possible, comment çà se fait que je sois encore entière ?

Chapeau bas mon ange gardien, (qui doit être surmené et complètement lessivé).

A la place de ma sœur, j’aurais fait avaler le lavabo à l’opératrice et j’aurais balancé le tout sur la terrasse, qui se serait écroulée pour de bon.

Or, voyez comme ma sœur reste paisible face à l’adversité, avec ses cheveux blonds au vent et ses joues groseilles. - et encore j’ai édulcoré les menues tuiles qui lui sont tombées dessus ces derniers jours.

(car les tuiles, c’est comme le reste : çà se déplace en troupeau).

Alors je me suis assise face à moi-même et je me suis dit : bon, de deux choses l’une,

ou tu continues à faire n’importe quoi, et on voit ce que çà donne

ou tu réfléchis, et tu vas avoir mal à la tête.

C’est là que les ennuis ont commencé.

En effet, pour agir sur quelque chose, il faut s’en rendre compte.

Or, la difficulté lorsqu’on est en colère, c’est précisément d’être en colère et de ne plus se rendre compte de rien. D’avoir l’impression de gonfler comme un ballon à l’hélium. D’être soulevée par un raz de marée.

Vous avez déjà essayé de faire respirer calmement un raz de marée, vous ???

Ceci dit, je reste profondément optimiste car je viens d’apprendre que « l’ignorance nous cache la réalité »

Or, je n’ignore plus que je suis ignorante.

Je n’ai plus qu’à trouver où commence et où finit mon ignorance et ce qu’elle devient dans le temps, dans la forme, dans la vision, dans la sensation et dans son existence intrinsèque.

Diane a raison:

c’est beaucoup plus marrant que le Sudoku.

12 février 2007

merci

On a tous appris à dire merci, et la plupart du temps, on le dit machinalement. Pourtant, j’ai remarqué que ce petit mot a une puissance énergétique incroyable. Il est très gai et très positif. En plus il fait du bien. Alors moi je dis

merci à mes poumons, inspir, expir

merci à mon ventre de me sentir exister

merci à mes jambes de me transporter

merci à mes bras d’embrasser

merci au ciel, bleu, rose ou gris,

merci au soleil se levant inlassablement

merci à la terre, aux arbres et aux oiseaux

merci à mes enfants, à ma famille, à mes amis

merci à la Vie qui va, qui vient

merci à la Vie qui me remplit

merci à la Vie qui me comble et m’inonde

merci

12 février 2007

la vacuité

Depuis que je lis le blog déjà cité, mon vocabulaire s'est considérablement enrichi.

Je devrais plutôt dire :

mon cerveau s'est considérablement encombré.

De notions sans lesquelles je vivais plutôt bien avant .. mais maintenant elles sont là. Je ne peux plus faire comme si je n’avais pas lu. J‘ai lu, et j‘en reste comme deux ronds de flans.

Par exemple, prenons au hasard : le zéro.

Eh bien, contrairement à ce qu’on pourrait supposer, le zéro, c’est pas rien. Avez-vous déjà essayé de conceptualiser le zéro ?

Supposons, vous avez devant vous un corset (un des merveilleux corsets que confectionne Diane).

Jusque là, tout va bien. Vous le voyez. UN.

Maintenant, on va cacher le corset. Donc yen a plus. Or, s‘il n‘y en a plus, comment peut on dire qu‘il y en a zéro ? Hein ?

Et encore, le zéro c’est pas le pire. Le pire, c’est les moins. Les + je dis pas. C’est sympathique. Surtout quant ils sont suivis de plusieurs chiffres puis de €. Mais un moins ? Faut bien le référer à quelque chose. Et ce quelque chose, c’est zéro.

Et le zéro il est où ? Nulle part. Comme le corset.

Donc, déjà, le zéro ne m’était pas franchement sympathique.

Ben maintenant, je connais un mot qui l‘est encore moins : la vacuité.

La première fois que Lung Ta s’est adressé à moi en me parlant de cette chose, je me suis dit, super ! un copain plein d‘humour !

Ben pas du tout.

Il était sérieux.

En effet, tenez vous bien, "la vacuité des choses désigne leur absence d’être en soi". Purée quel choc.

Alors là je m’interroge.

Comment ça se fait qu’on parle de choses qui ne sont pas plus en elles-mêmes que nulle part ailleurs ???!!

Mais dans la famille, on est têtues. Enfin, surtout ma sœur. Donc elle m’a dit: "tu ne vas pas te décourager sous prétexte que les choses sont absentes et vides. Continue de chercher"

Alors, vaillamment, j’ai pris mon bâton et j’ai continué.

On peut pas dire que j’en ai été récompensée. Je me suis retrouvée devant des choses, non pas vidées de leur contenu, mais dont le vide est la propre nature.

Ça m’a vraiment fait mal.

Et la vacuité de la vacuité alors?

Y a-t-on sérieusement pensé ??

Misèèèèèèèèèèèère !!! Si la matière n’existe pas,

COMMENT VAIS-JE FAIRE MES EXERCICES CE SOIR ????????????

10420766_p

corset vacui

11 février 2007

re

Il n’y a pas si longtemps, je lisais ce genre de trucs :

"Avec la pratique de la méditation, on peut accéder a des territoires transcendants de son être ce qui peut permettre une détente, une paix, un développement de l’intuition, un rééquilibrage général, un apaisement de la douleur, une meilleure projection et mise en œuvre de nos possibilités, ou provoquer tout un tas d’expériences extrasensorielles.

Mais tout ceci, si cela arrive éventuellement, n’est pas la fin de la méditation, n’est pas son but, n’en est même pas un avantage mais peut au contraire en être un frein, un piège et une voie de garage.

La méditation, mouvement non cérébral de la conscience humaine, n’est pas un moyen pour atteindre une fin, c’est un état d’être global : l’ainsité."

(j’ai pris un texte au hasard, vu que de toutes façons ils ont tous le même effet sur moi).

rappel de l’effet ==> 10378792

Oui, donc, avant,

1) je lisais

2) première question : comment ça se fait que lorsqu’on est Française de naissance et qu’on maîtrise plutôt bien la langue (qui de + est mon outil de communication préféré)(je parle de la langue en général) (bon je m’égare) oui, qu’est ce que je disais. Je parle Français, alors peut on m’expliquer pourquoi je ne comprends rien à cet assemblage de mots français ? Est-ce parce que l’auteur prend un malin plaisir à les mettre dans n’importe quel ordre ? Ou est-ce moi ? Je m’interroge.

3) les mots d’un homme c’est par définition les mots d’un homme. Ils veulent donc dire ce qu’un homme veut dire, et qui n’est donc absolument pas ce qu’une femme veut dire. C’est d’ailleurs pour ça qu’on ne comprend rien. Prenons par exemple un mot tout simple : " non". Un homme qui dit " non", est-ce qu’il veut dire "non" ? Eh bien oui, il veut dire non ! Contrairement à nous qui parfois, voulons dire "oui" en disant "non" !

Et après on s‘étonne de ne pas se comprendre. Alors si déjà, ya un léger malentendu au sujet d’un mot aussi petit et simple que "non", faut pas s’étonner d’avoir le sentiment que quelque chose de lourd nous est tombé sur le crâne quand on découvre qu’on a des territoires transcendants alors que personne ne nous a jamais prévenue !!

Et comment ça se fait que plus on les cherche plus on s’énerve ? Comment peut on trouver un rééquilibrage général à chercher un truc alors qu’on ne sait même pas qu’il existe ????

C’est bien des explications d’homme ça.

4) malgré tout, je suis pleine de bonne volonté, et docile avec ça. Alors je continue. Et là, qu’est-ce que j’apprends ??? si par le plus grand des hasards, j’obtiens des trucs sympas comme une détente, une paix, etc ... c’est même pas le but recherché !! C’est tout le contraire ! Si on réussit à bien méditer ne devrait-on pas être super satisfaite ? Ben pas du tout !! C’est une voie de garage ! Et après ça faut rester zen.

Alors la première leçon que j’ai tiré, moi, c’est qu’il ne faut surtout pas chercher à comprendre. Non non. Çà fait l’effet inverse, plus on cherche à comprendre, moins on se zénéifie.

J’ai constaté qu’au contraire il faut RE :

- relâcher

- remercier

- recevoir

C’est ça qu’il faut cultiver et ouvrir.

Diane ! Tu crois que c’est en baîllant que tu vas progresser ??

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