Sexcapade la suite
Surprise ! Ce matin le sol est tout gelé !
Allons bon. Si même en hiver il se met à geler maintenant, où va-t-on mes amis où va-t-on je vous le demande ????
Bon histoire de vous réchauffer au moins les amygdales je vais vous narrer la suite de mes déboires sentimentaux, enfin un de mes déboires, vu que je suis spécialiste es-plans foireux ! Oui enfin bon, j'exagère, comme d'habitude !!
Voui alors donc, pour ceux qui ont raté le début, veuillez je vous prie vous transporter ici (clic clic).
En fait après ce premier contact d'anthologie, nous nous sommes revus mais cette fois il avait son apparence normale. Faut dire que j'avais pris soin de m'assurer qu'il avait pas de match prévu ce jour-là.
Or donc, (je passe directement aux trucs intéressants) je me retrouve lui sur moi, enfin moi sous lui, .. ouaouh, qu'il est lourd ! ou alors c'est moi, je suis trop menue, je sais pas, ya quelque chose. On y pense jamais à ça, on se dit les sportifs c'est trop bien tout ça, on oublie un peu vite que du muscle, comment ça pèse !
Au bout de pas longtemps, j'ai la nette impression d'être littéralement aplatie. Finir comme ça, c'est quand même bête, si jeune ! Et voilà qu'il me fait :
- Qu'est-ce que t'as ? t'es cramoisie !
(moi) non non c'est rien, c'est l'émotion !
(C'était dans une période où ma vie affective était désertique alors j'allais pas faire la difficile en plus).
Oui alors donc, alors que je suis en train de mourir asphyxiée, sauvée par le gong dites-donc ! enfin je veux dire, par le miroir de ma chambre ! ben oui, mon sportif était en train de s'admirer au lieu de se concentrer sur ce qu'il faisait ! et voilà qu'il rugit : "Ooooooooooh non ! c'est pas vrai !!!"
(moi, in petto) Quoi ? qu'est-ce qu'est pas vrai ? il vient de s'apercevoir que non seulement j'ai des seins rikikis, mais qu'en plus à force de les écrabouiller comme ça ils ont disparu totalement, que c'est foutu, il va pas s'en remettre (et moi non plus d'ailleurs) ?
Il se soulève pour se rapprocher de la glace (j'en profite pour respirer un peu d'air) et il me sort d'une voix d'outre-tombe :
"J'ai un cheveu blanc !"
(moi) Un cheveu blanc ? nan mais t'es malade ! tu m'as fait une frayeur pareille pour un cheveu blanc ! moi qui croyais que c'est parce que t'avais aplati mes seins !
(lui) Tes seins ? quels seins ?
Super cool le mec. J'ai pas regretté ma soirée, croyez-moi ! après ça, j'ai passé mon temps à essayer d'upgrader mon estime de moi qu'était dégringolée sous terre !
Enfin, depuis, tout va bien, je me suis fait une raison !