Que ferais-je sans vous ?
Que ferais-je sans vous, qui vîntes à ma rencontre ? me disais-je ce matin en ouvrant les deux yeux.
Oui, que ferais-je sans vouuuuuuuuuus maintenant, vous mes chers amis et mes fidèles nounounes qui arrivâtes un beau jour d’avril 2006 sur mon blog en croyant y trouver des recettes sur la zénitude et qui constatant la méprise (je vous en demande humblement pardon, à genoux et à deux mains) ne vous en êtes néanmoins pas détournés ?
Vous qui avec un courage ôôôô combien exemplaire n’avez pas hésité à me suivre dans mes crises de fou rire mais aussi et surtout me réconforter chaque fois que j’étais occupée à ramasser les morceaux de ma vie brisée ? vous qui - sauf Clo (oui parce que figurez-vous qu’elle se délecte de mes mésaventures)(elle dit que ma vie est un véritable feuilleton et qu’elle attend toujours avec impatience les nouveaux épisodes), vous qui, disais-je, me donnez des petits bouts de vous, les plus beaux, les plus colorés ? vous qui êtes toujours là pour moi (surtout Clo qui veut pas rater un seul épisode) ?
alors vous, mes chouchous, mes nounous, mes nonos je me jette vers vous à grandes enjambées silencieuses tel le héron gracieux que je sais être à mes heures perdues et je vous dis
merci.
Merci pour vos caresses (comme on dit à Québec), pour votre sympathie, votre amitié, votre chaleur, votre empathie (sauf Clo) - là, je marque une pause et je prends un Kleenex, chrrrrrrrrttt !!! oui, parce que non, bon d’accord je suis émue mais si jme mouche c’est surtout parce que j’ai chopé un truc, c’est printanier paraît-il, alors je bourgeonne - oui donc je disais, à vous tous,
merci, merci, merci !!
merci d'être vous pour moi !!!