Quand je ressens le genre d’émotions stériles * que je ressens en ce moment, je me dis qu’il vaut mieux que j’arrête d’écrire sur ce blog pendant quelques temps.
Bien juste, tout ce qui est écrit ci-dessus en commentaire.<br />
Il y a des moments de besoin d'isolement, pour se retrouver avec soi-même, mais il faut toujours pouvoir conserver une possibilité de lien, pour se dire aussi, ne pas rester esseulé dans l'isolement<br />
tu sais qu'il y a d'autres moyens que le blog pour communiquer<br />
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je t'embrasse<br />
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frédéric
Est-ce que tu es ce que l'autre regarde, quand il te regarde ? Est-ce que tu cesses d'exister, quand il ne te regarde plus ? Qui es-tu quand personne ne te regarde ?
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Non ! Pas "stériles" du tout, jamais, les émotions... qu'elles quelles soient... ; peut-être "toxiques", en l'occurrence, serait-il plus approprié ?!<br />
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Ne "plus être aimé/e", frappe l'égo (la dignité) ; il faut creuser à cet endroit-là... <br />
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Ne "plus être aimé/e" = quoi ??? Quel(s) écho(s) en toi ?<br />
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Il y a une différence monumentale entre ces deux cas ; elle génère des émotions distinctes, quoi qu'il en soit, à "travailler" de manière dissemblable :<br />
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1°) untel/le "aime encore" mais n'est plus aimé/e de l'autre...<br />
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2°) untel/le "n'aime plus" mais ne supporte pourtant pas de ne plus être aimé/e de l'autre...<br />
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Où te situes-tu ? <br />
A toi d'approfondir la question... pour trouver le noyau de ton émotion et l'examiner, le traiter... sauver "ta peau" des affres de ton coeur...<br />
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Je t'embrasse.
Ce désintérêt que tu subis peut être une chance de reprendre (ou de prendre) possession de ta vie, de ton destin. <br />
Guern de Bé a raison, les émotions ne sont pas stériles. C'est ce qu'on en fait qui peut les rendre inutiles.<br />
Es-tu bien sûr que dans un chamboulement moral, ce soit le meilleur moment de s'isoler....<br />
Prends soi de toi<br />
Amitié<br />
Reynald