Un plaisir à déguster

La plupart du temps c'est la vérité vraie. La plupart du temps c'est la vérité vraie, sauf qu'on ne s'en rend compte que rétrospectivement, dès que le plaisir simple d'être en vie, en bonne santé, sans souci hallucinant ou particulier nous est retiré pour laisser place à un dévaste.

En même temps, c'est humain de ne pas se rendre compte de ce qu'on a et même de vouloir autre chose tout le temps. Sacré paradoxe, ce besoin de sécurité tout en rêvant sans relâche à autre chose qui serait tellement mieux puisque ce serait différent !

"Chaque jour est un plaisir à déguster".... Faudrait poser la question à tous ceux qui sont seuls, qui rêvent de trouver un mec, une nana, du boulot et de quoi payer le loyer !

Comments

[ambreneige]

REYNALD, Merci mon ami de revenir vers moi via ce canal ..

"Tu tiens debout en ne pouvant t'appuyer sur personne parce que tu as en toi la force de le faire." Cette phrase tu sais elle m’a marquée, c’est une des premières importantes que tu m’as dites et qui ont jalonné notre bout de chemin.

Mais je dirais aujourd'hui : pas forcément la force, mais souvent : pas d’autre choix. Chacun d’entre nous doit faire face à un certain nombre de responsabilités, évidemment à deux c’est plus facile (comme tu dis : "avoir la force étant dans une vie à deux est une bien meilleure situation"), mais dans tous les cas il faut le faire !



La relation "maître-bonniche" me paraît un peu caricatural, pour la majorité, la femme reste la personne qui doit assumer le plus de choses, surtout au niveau des tâches ménagères, et cette croyance est autant féminine que masculine. Combien d’entre nous, hommes et femmes, s’extasient devant un mec qui fait la vaisselle, le ménage comme si c’était la 3e merveille du monde alors que si c’est une nana qui le fait on trouve ça normal ?

C’est toi qui est un CAS, excuse moi de te le dire ! ;-)



Bizzzzzzzzzz

[Lise]

A propos du bonheur et du rêve, un texte trouvé sur le blog de Yog :



Le désir te décentre.

L'idéal te décentre.

Le devenir te décentre.

Ces rêves d'être autre chose

que ce que tu es

t'interdisent le bonheur d'être.

Commence par te connaître tel que tu es.

Dévoile ta réalité telle qu'elle est,

en ce moment.

Devient le témoin de ton authenticité.

Alors t'échoit une prodigieuse détente.

L'acceptation est un guru sans pareil.

Elle te centre en toi-même.

Cette conscience de l'instant

s'étend à ton corps et s'y enracine.

Lui est toujours ici et maintenant.

La richesse des sensations calme ton esprit.

Ancre-toi dans cette réalité.

Et quoique tu fasses, fais-le consciemment.

Tu sentiras peu à peu l'état méditatif

s'installer en toi,

comme l'eau de la nappe aquifère monte dans le puits.

Ton fragment d'action consciente

est déjà méditation.

Et lorsque cet état t'habite totalement,

lorsque tu vis en conscience plénière,

tu es méditation.

Tu as regagné ton centre

et, par conséquent, aucune zone périphérique

n'est plus importante qu'une autre.

C'est cela le non-choix,

Cette absence de choix fait de toi

un prince de la présence.







François Roux

[Elena]

Lise, cet écho du "sourire" fait du bien ...



Ambre, on peut dire en effet que " nous sommes au moins DEUX "

Rêve et regard se croisent en UN imaginaire et pourtant bien réel ;-)





PS: j'espère que tu me pardonneras de laisser quelques fautes d'ORthographe sur ces belles pages, cela ne sera pas la première et peut-être pas la dernière non plus,.. m'enfin, je fais un effort pour remédier à tout ça, puisque je le vois ...

[Lise]

Oui Elena, le moment présent est un cadeau dès qu'on le vit.

Aussi simple qu'un sourire..

[Elena]

Lise, lorsque tu dis "chaque jour est un "présent", j'entends chaque jour est un "cadeau". Le rêve devient présence ", juste pour moi, juste maintenant", le regard est présence... comme une invitation, rêve et regard ne font qu' UN .



Cette fraîcheur dont tu parles, je crois bien que je l'aie senti en découvrant tes mots

:-)