17 octobre 2010
la vraie sagesse
Tout à coup, je m’aperçus que je ne pleurais plus. J’étais enveloppée de ce que je ne peux décrire que comme une petite poche de silence - un silence si rare que je répugnais à respirer, de peur de l’effrayer. Puis j’ai entendu une voix. La voix disait...