bûche, bing et badaboum
Oyez oyez amis du chocolat et des marrons chauds,
je viens de décider dans ma grande mansuétude de partager avec vous la recette de la bûche que j’ai préparée lorsque mes enfants sont venus pour le repas de Noël qu’on n’a pas pu faire à Noël, et ce pour trois raisons * :
1) elle est facile à faire
2) elle est rapide
3) et surtout, elle est imbrûlable. Et si je puis vous l’assurer, c’est que je la faisais pour la première fois (j’étais tellement dans le cirage que j’arrivais même pas à ouvrir un livre de cuisine et c’est ma fille, par générosité je suppose, qui m’a donné la recette, à moins qu‘elle ait craint pour son dessert ?), oui donc je disais, 1) c’était ma première fois, 2) j’étais dans un état second (qui a dit : comme d’hab ?) eh bien elle n’a même pas brûlé (la bûche, pas ma fille). Et ça, c’est une preuve irréfutable !
Oui alors donc il vous faut :
3 œufs (que vous allez cueillir tout frais dans le nid de votre poulailler)
500g de crème de marrons (que vous aurez eu la précaution de faire vous-même en octobre à l’heure où tombent les châtaignes)
50g de beurre (barraté par vos bons soins)
et 80g de chocolat noir c’est noir.
(dessous de plat réalisé par my sister)
Bien alors, il faut mettre les 3 œufs sans leur coquille dans un plat et les battre avec la crème de marrons. Pendant ce temps le beurre fond dans la casserole avec le chocolat en pitits morceaux.
Mélangez tout.
C’est tout.
Hop.
On met ça dans un moule à cake, et roule ma poule à 160°.
Franchement si vous me ratez ça, je vous radie de mes lectrices préférées !
En plus aujourd’hui à peine l’œil ouvert et même les deux j’ai bondi telle la rieuse gazelle que je suis hors du lit * où je me suis retrouvée
doooooïïïïïnnnggggggg
natanadasana,
alors forcément j’ai enchaîné
puisque
c’est
une
bonne
journée,
et tout ça pourquoi,
hein pourquoi ?
Eh bien parce que : il y a une nouvelle photo in my alboum, et pas la moindre, il s’agit de ma Maîtresse es-bannière et autres menues manipulations,
alors pour Isa,
hip hip hip hourra !!!!!!!!
PS ** je sais, je sais. Ma phrase, elle va pas du tout. On a l’impression que les trois raisons c’est à cause du repas de Noël qu’on n’a pas pu faire à Noël alors que les trois raisons c’est pourquoi je veux partager la recette avec vous.
Pareil pour "comme j’ai bondi telle la rieuse gazelle que je suis hors du lit", alors que je suis une rieuse gazelle aussi dans le lit. Mais en déplaçant le repas de Noël (et accessoirement le lit), ça me semblait encore plus incompréhensible - même si ça n’effleurera l’idée de personne ici que je puisse écrire des trucs incompréhensibles, m’enfin passons.
Donc voilà, après différents essais (je viens de décider de partager avec vous lorsque mes enfants sont venus pour le repas de Noël qu’on n’a pas pu faire à Noël la recette que j’ai préparée, et ce pour trois raisons) (je viens de décider lorsque mes enfants sont venus pour le repas de Noël qu’on n’a pas pu faire à Noël de partager avec vous la recette que j’ai préparée pour trois raisons) (grande mansuétude stop - enfants repas Noël stop - recette bûche stop - trois raisons), donc finalement, j’ai laissé comme ça.